• vous avez dit bouddhismes ?

    est-ce bien  raisonnable d'en parler ? je n'en sais rien, mais le besoin de communiquer: oui. Essayer d'en  parler donc, si possible clairement, pour vous éclairer, pour m'éclairer moi-même (les illusions sont si proches quelquefois..)

    les articles de cette rubrique, écrits au fil des jours, seront rattachés à quatre modes visibles dans leur titre:

    remercier (dire merci à ces personnes qui comptent, avec qui je me sens en lien)

    comprendre (une notion, une école, une situation historique..)

    approcher ( avec précaution, douceur, quelquechose de difficile ou mystérieux)

    relier à (donner des liens, proposer des lieux, où se vit cette spiritualité 

     

  • "La crise économique apparaît de plus en plus comme la partie émergée d’une crise de civilisation fondamentale. Celle-ci questionne notre vivre ensemble – avec les autres êtres vivants – sur la planète Terre. Que faire face à l’immense souffrance qu’elle engendre ? Comment inverser le cours de la destruction croissante de nombreuses espèces animales et végétales ? Quelle économie pour le XXe siècle ? Comment transmuter les égoïsmes personnels ou collectifs afin d’établir ensemble les fondations d’un vaste engagement social bouddhiste ?"

    C’est en posant ces questions que six communautés de pratiquants : Dana, Rimay International, Shambhala, Terre d’Éveil, Un Zen Occidental, Zen-Voie du Cœur unissent leurs efforts et vous invitent à un week-end de pratique et d’échanges – de méditation et de Cercles de Parole et d’Écoute – afin de joindre nos aspirations et nos compétences pour faire émerger de nouvelles formes d’engagement et d’actions.

    Cette rencontre aura lieu au centre Dana (Montreuil), voir sur le blog d'Eric Rommeluère

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Beaucoup veulent méditer, espérant ainsi soulager quelques douleurs de la vie ou devenir plus serein, plus "zen". Soit, mais de quoi parle-t-on ? de quoi s'agit-t-il ? va-t-on enfin vivre des moments hors norme ? quelles transformations en attendre (ou pas) ?

    je vous propose un  extrait de ce très intéressant petit livre de Hervé Clerc, déjà cité dans ce blog: en une dizaine de pages l'expérience d'un "honnête homme" qui vit librement  son expérience spirituelle. Bonheur ce lire ces pages éclairantes de quelqu'un qui ne se pense pas bouddhiste mais n'est "pas loin de penser comme eux" !

                                                                             à lire et goûter donc !

                                        

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • Bouddha nous a laissé les "quatre nobles vérités", socle doctrinal de son enseignement pour la plupart des bouddhistes ou de ceux qui l'étudient; elles s'énoncent très académiquement ainsi:

    la souffrance

    l'origine de la souffrance

    la fin de la souffrance

    le chemin qui conduit à cette cessation

    Hervé Clerc, dans les choses comme elles sont, éd. Folio 2011, les appelle "les 4 cairns": "les cairns, ces monticules de pierre qui jalonnent les chemins de montagne, guident les randonneurs. Grâce aux cairns, un promeneur ne se perd pas. Il suit le fil de sa randonnée. Mais s'il reste en arrêt devant un cairn, absorbé par la contemplation du cairn, la randonnée s'arrête. il n'y a plus de chemin. Les vérités du bouddhisme sont des cairns: il faut les avoir à l'oeil mais ne pas rester planté devant" (p. 12). A mon sens (Hamon-sens ?) il faut lire ce magnifique petit ouvrage conçu "pour un lecteur qui soit très éloigné du bouddhisme, un lecteur français enraciné dans sa culture, avec béret basque et baguette sous le bras,  comme le caricaturait (dans les années cinquante)  Ronald Searle, et que l'intention de se convertir au bouddhisme n'effleure pas plus que celle de troquer son verre de beaujolais contre un bol de saké" (p.14)

    Partager via GmailGoogle Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire
  • "La vie est une maladie mortelle sexuellement transmissible" , c'est du Woody Allen, d'accord, mais ce pourrait aussi être un bon point de départ pour évoquer la vision bouddhiste. Cette phrase évoque en effet à la fois l'impermanence fondamentale, la souffrance et le ...prolongement éventuel de "notre" vie par d'autres, nos enfants, et ce par une méthode très liée au désir, la "soif" dont parle Bouddha.

     


    Partager via GmailGoogle Bookmarks Blogmarks

    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique