Sur le Parvis des Libertés, place du Trocadéro, plusieurs des représentants des 37 religions présentes ont pris la parole.

Chacun tenant à la fois à marquer son identité propre en citant son évangile, son coran, sa bible ou ses hérauts et à affirmer que l’exemple du dialogue entre les religions peut être facteur de paix pour « ce village de 7 milliards d’habitants vivant sur cette planète dont l’immense majorité aspire à vivre en paix mais qui est entaché par la violence et la peur de l’autre »  

Le plus original à mes yeux a été Olivier Reigen Wang Genh [entretien], président de l’union des bouddhistes de France affirmant qu’« un être humain qui s’apaise et c’est l’univers qui s’apaise ».

« Aujourd’hui, cette paix universelle est devenue la condition nécessaire non seulement à la survie de l’espèce humaine mais aussi à celle d’un nombre considérable d’espèces. Car lorsque nous parlons de la paix, il s’agit bien sûr de la paix entre les hommes mais aussi et il est essentiel de ne pas l’oublier, de la paix entre l’homme et la nature. »

(texte de Georges Vimard, sur blog Partenia, transmis par Francine T. )